Biens chers lecteurs,
Ce n'est pas sans un léger pincement au coeur que je dois vous l'annoncer: je n'ai plus le coeur à l'inhibition, et mon aigreur me quitte. Ne croyez tout de même pas que je me mets à l'heure du travail et rigueur, ca ne me ressemble pas! Non, le hasard a seulement mis sur ma route une raison de ne plus me lamenter sur mon sort. Espérons juste qu'il ne s'agisse pas de me faire plonger bientôt encore plus bas.
Je note que j'ai perdu ces derniers mois de l'innocence et de l'optimisme; le bonheur n'interdit pas le questionnement. Et puisque "il ne faut jamais chercher à comprendre", il s'agit à chaque instant de tenter d'imaginer des événements dépassant l'entendement. La probabilité de leur réalisation est la plus grande.
Je m'apprêtais à écrire mon souhait de ne plus jamais écrire sur ce blog. Je dois relativiser: il y aura certainement des récits concernant d'autres inhibiteurs et aigris à relater. J'espère ne plus en être le sujet.
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1 commentaire:
putain t'es bo quand t'es amoureux mon bon babe
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